Philophotie aiguë

Le ciel ne se débouche pas, et je commence à me demander quand se présentera enfin l’opportunité d’aller faire de véritables essais au matin, avec une lumière digne de ce nom.

Et même lorsque je décide d’entreprendre d’autres essais, les éléments se refusent à y mettre du leur — ou, plutôt, en font trop.

Dimanche dernier avait lieu à Blois une série de courses à pied : bonne occasion d’aller me faire la main et l’œil sur des sujets en mouvement. Le départ était prévu à 13 h 30. Dix minutes avant, une barrière de nuages gris et lourds a surgi, provoquant une tempête de grêle...

Je savais déjà qu’il faut faire preuve de patience, voire de stoïcisme, mais l’attente devient cruelle ;-)

Comments

[Dendropogon]

C'est plus joli, effectivement ;-)

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[Cédric]

On me reproche parfois de réclamer des nuages. C'est vrai, de beaux moutons blancs sur un ciel bleu, un ciel d'orage associé à un rayon de soleil, c'est tout de même bien plus joli, non ?

Mais là, non, point trop n'en faut ;-)


Cédric.

[soslan]

O temps cruel ! Courage, et dis-toi qu'il en faut des nuages :-)

Tu devrais bien sourire, demain, en lisant le billet que je viens de préparer sans avoir lu le tien auparavant ;-)