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Le Bois de Dendropogon
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18 août 2007

Dans les Monts du Cantal

De retour de vacances (mais toujours sur le portable de dépannage), je retrouve Blois, ainsi que ce Bois virtuel.
Heureux de ce beau voyage en Auvergne, car je n’avais plus autant marché en si peu de temps depuis mes séjours dans les Alpes, lorsque j’avais vingt ans…

Mais les Monts du Cantal ont l’avantage sur les Alpes d’offrir des ascensions équivalentes (du moins pour le randonneur à la journée) avec cette satisfaction supplémentaire de pouvoir atteindre à chaque fois le sommet le plus élevé de la chaîne !
On se dit que l’on est allé au plus haut ― ce qui reste subjectivement valide, même si la marche pouvait encore se poursuivre bien plus loin… ;-)

Parce qu’un blog est, à l’origine, un carnet de bord virtuel, j’indique ici les excursions de ce beau séjour.
Cette liste me servira essentiellement de souvenir, car j’ai regretté par le passé de ne pas avoir relevé le détail des marches dans les régions visitées.

Mais si elle donne également envie à d’autres d’aller mêler leur sueur à l’eau des volcans d’Auvergne, j’en serai ravi :-)

Jeudi 9 août 2007 :

- le matin : le Puy Griou

(Guide Chamina sur le Cantal, réf. 130, n° 3 : « La Vacherie du Griou », p. 26-27)

Départ du village des Chazes (1123 m), à 10 h. Temps relativement dégagé. Belle montée, variée, avec une remarquable vue sur la vallée de  la Cère.

Le Puy nous regarde monter d’un œil tranquille.

2007_08_09_Puy_Griou_4816


Le passage dans la hêtraie est très agréable, avec des arbres tordus, et une fraîcheur saisissante.

On en sort pour gagner les estives, balayées par un fort vent du nord.

Une fois le pic contourné, on quitte le balisage pour entamer l’ascension, qui tourne finalement à l’escalade. Pour une première sortie, c’est sévère, et je cale plusieurs fois dans la montée… Il me faut aussi prendre garde à ne pas laisser le vent arracher mon Panama (qui restera dans la voiture pour les prochaines sorties).

Au sommet (1690 m), la vue est à la hauteur de l'effort accompli.

2007_08_09_Puy_Griou_4832

Redescente du pic plus ou moins par la même voie (étant donné qu’il n’y a pas de sentier), et il faut ensuite franchir la clôture pour rejoindre sur la droite le versant sud et son pierrier. On gagne ainsi en diagonale la  Vacherie du Griou, qui ne désigne pas la difficulté de l’ascension (c’est pourtant le sens que j’en garderai ;-)) mais la petite maison du vacher…

Fin de la balade en retrouvant l’itinéraire de l’aller (13 h).


- l’après-midi : la Porte du Lion  (en face de Thiézac)

(Guide Chamina sur le Cantal, réf. 130, n° 4 : « La Porte du Lion », p. 28-29)

Remarque préalable : je vais rapidement me rendre compte que j’aurais dû m’en tenir là pour une première journée, et que la sortie du matin m’avait déjà passablement marqué. Il me faut également préciser que tous ces commentaires me concernent uniquement, vu que Vanessa, ma belle dryade, monte comme un cabri : on est sportif, ou on ne l’est pas (ça fait un couple complémentaire… ;-))

Départ du hameau de Lagoutte (de sueur, pour ma part ;-)), vers 14 h 30. Partir le long d’une ferme, pour patauger dans la boue des chemins. A ceci près que je rate une bifurcation parce qu’elle était clôturée, et que nous nous perdons dans un champ de vaches, cherchant vainement la reprise du chemin pendant une demi-heure. On fait demi-tour et on retrouve le sentier, qui prend très vite les allures d’un ruisseau dans un bois.

La piste devient un magnifique petit sentier bordé de murs de pierre, qui serpente entre les prairies. Il faut se rappeler qu’en montagne, « serpenter » s’entend souvent en trois dimensions. Si je n’avais pas été en train de payer les efforts du matin, j’aurais certainement été enchanté par ce bel échantillon de la Comté !

2007_08_09_Porte_du_Lion_4837

Après une succession de montées, on parvient à quelques hameaux qu’on traverse pour atteindre le Chaos de Casteltinet : un sombre enchevêtrement de roches et d’arbres, vestige d’éboulements passés.

On en sort pour passer sur la Porte  du Lion, grande arche de pierre.
Puis c’est la redescente vers le lavoir de Lagoutte, où je m’abreuve (il n’y a pas d’autre mot) à grandes goulées (17 h 30).

Vendredi 10 août : la Bonnevie de Saint-Antoine

(Guide Chamina sur le Cantal, réf. 130, n° 7 : « La Bonnevie de Saint-Antoine », p. 36-37) 

Rq : étant donné les deux sorties de la veille, j’opte pour une balade plus tranquille, dans les hauteurs de Murat où nous séjournons.

2007_08_10_Murat_4880

Départ à la gare de Murat (14 h 45), pour traverser la vieille ville médiévale, et gagner ensuite le haut de la commune, doucement nichée sur le versant d’une petite montagne.

On suit le chemin sous un ciel très bas, qui ne permet pas de profiter pleinement de la beauté des prairies traversées.

2007_08_10_Chapelle_StAntoine_4856

Arrivée au petit village de Chastel-sur-Murat, dominé par le rocher de la chapelle St-Antoine. Une brève ascension nous y mène, avec un point de vue très paisible sur les environs.

2007_08_10_Chapelle_StAntoine_4854

Redescente pour passer au pied du rocher, et rejoindre la vallée.

2007_08_10_Vierge_Bonnevie_4872On parvient, toujours par une série de chemins longeant des champs aux petits murs de pierre, au Rocher de Bonnevie, au sommet duquel s’élève une grande statue blanche de la Vierge qui veille sur Murat. C’est le Chemin de Croix (mais on en suivra de plus éprouvants), et là encore on regrette que le temps soit gris et froid.

Retour dans la vieille ville médiévale (17 h 15).

Samedi 11 août : le Plomb du Cantal

(Carte IGN 2435 OT, sur les Monts du Cantal)

Départ de la station du Super-Lioran (1237 m), vers 13 h 45. Temps ensoleillé sur la station, mais le Plomb est dans les nuages.

On remonte les pistes de ski, sans suivre un balisage précis, pour atteindre une première crête qui surplombe la station et rejoindre ensuite dans le contrebas le Buron des Gardes et son curieux étang bâché. Un vestige d’arche bâtie en pierre agrémente le point de vue.

2007_08_11_Buron_des_Gardes_4889

Montée difficile dans le Baguet, d’autant plus que le terrain se constitue de grosses mottes d’herbe, entre des rochers, où la marche peine à conserver un rythme régulier. Les vaches de Salers et d’Aubrac, aussi calmes que la pente est ardue, restent indifférentes aux efforts des rares marcheurs. En revanche, les passagers du téléphérique qui mène directement au sommet doivent bien s’amuser… Je râlerai souvent au sujet de ces « traîne-paillasse », qui n’éprouvent pas le poids du réel… ;-)

Le temps devient plus froid et très brumeux, mais nous parvenons enfin en haut, pour suivre la ligne de crête qui conduit gentiment au Plomb (1832 m), et qui finit par se transformer en escaliers prévus pour que les traîne-paillasse en tongs puissent encombrer le sommet.

Coup de chance : alors que la montée se faisait depuis longtemps dans une brume collante, nous sommes récompensés de nos efforts par une rapide trouée dans les nuages, qui nous permet de savourer le point de vue.

2007_08_11_Plomb_du_Cantal_4901

Redescente par un autre chemin, qui prolonge la ligne de crête, pour ensuite plonger à gauche vers la station. Malheureusement, des chantiers pour les pistes de ski ont bouleversé le suivi du GR 4, qui se voit également traversé par des pistes pour VTT, parfois interdites aux piétons (ce qui se comprend aisément, lorsque l’on voit à quelle vitesse ils déboulent). Nous nous débrouillons « à l’arrache » pour tracer notre propre chemin…

Retour à la station, qui était restée au soleil (16 h 40).

Dimanche 12 août : l’Elancèze

(Carte IGN 2435 OT, sur les Monts du Cantal)

Départ au Col du Pertus (1309 m), à 13 h 25. Belles éclaircies tout au long de la balade.

Montée dans une haute hêtraie, au cours de laquelle on découvre d’anciens pièges à loup.

On débouche directement sur la ligne de crête, à partir de laquelle se fait la rapide ascension vers l’Elancèze (1571 m).

2007_08_12_Elanc_ze_4936

A partir du sommet, pour ne pas simplement revenir sur nos pas, nous redescendons de l’autre côté pour partir plus ou moins à l’aventure dans le versant sud. Y alternent des genêts, une petite forêt et des prairies d’estive. Deux ruines de burons ponctuent l’escapade, avec encore et toujours l’indifférence bovine aux pérégrinations humaines.

2007_08_12_Elanc_ze_4941

Nous remontons la ligne de crête de l’autre côté pour la suivre jusqu’à l’arrivée du sentier de la hêtraie de l’aller. Descente au pas de course, très agréable.

Retour au col vers 15 h 35.

Lundi 13 août : les Fours de Peyre-Arse, avec enchaînement du Puy Mary et du Puy de Peyre-Arse

(Guide Chamina sur le Cantal, réf. 130, n° 2 : « Les Fours de Peyre-Arse », p. 24-25 ; Carte IGN 2435 OT, sur les Monts du Cantal)

Rq : c’est la grande sortie du séjour, prévue pour la journée que la météo locale promettait d’être la plus belle… Le Guide Chamina indique une balade de 16 km, pour environ 5 h 30, mais destiné à la petite randonnée, il n’inclut pas les ascensions des puys en tant que tels. Pour la beauté du geste, ainsi que de la vue, nous choisissons de relever le menu, en longueur et en hauteur ;-)

Départ au Col de Serre (1335 m), vers 8 h 15. Chemin agréable qui surplombe la route et traverse des estives pour chevaux (on découvrira pendant un moment que les chevaux du Cantal ne connaissent pas les pommes mais préfèrent les sacs à dos…).

2007_08_13_Puy_Mary_4973


2007_08_13_Puy_Mary_4985

On arrive ensuite à la verticale du Puy Mary où commence la montée en lacets vers le Pas de Peyrol (1588 m), nœud de jonction du massif des Monts du Cantal. Nous entrons dans les nuages qui s’épaissiront à mesure que nous gagnerons en altitude.

Je dois reconnaître une erreur : sur les photos du Puy Mary, on peut voir un escalier qui mène au sommet. J’en avais conclu à tort qu’il était destiné, comme au Plomb du Cantal, à promener les traîne-paillasse qui se garent directement au Pas de Peyrol. Sombre méprise : la montée est très rude, et les marches parfois si hautes qu’elles coupent le rythme au lieu de faciliter l’ascension.

Arrivée dans le brouillard au sommet (1783 m), où l’on est accueilli par une croix et un champ de cairns, cimetière symbolique pour randonneurs épuisés.

2007_08_13_Puy_Mary_4992

Nous n’y restons pas longtemps : il y fait très froid, et nous ne sommes encore qu’au début de la sortie.

Nous basculons de l’autre côté pour descendre le long de la ligne de crête : quel dommage que nous n’y voyons pas à plus de vingt mètres, le panorama était censé être magnifique des deux côtés.

Cette ligne de crête ondule son dénivelé sur deux ou trois kilomètres, avec notamment le franchissement de la Brèche de Roland (1647 m), véritable encoche qui nécessite un peu d’escalade.

Dans le prolongement de la ligne, une patte d’oie offre la possibilité de poursuivre vers la montée du Puy du Peyre-Arse, en laissant de côté le GR 400. Le froid et la brume s’intensifient, mais ce ne sont que de moindres maux par rapport à la fatigue et aux efforts à fournir. Je ne suis pas loin de ne plus savoir comment je m’appelle…

Après une éprouvante ascension où se ressentent les efforts des jours précédents, nous atteignons le sommet du Puy de Peyre-Arse (1806 m) qui ne permet pas de s’accorder une réelle pause, tellement le vent y est glacial. Vanessa ne le sait pas, mais nous n’en sommes pas encore à la moitié de la randonnée… Je préfère ne pas le lui dire.

Nous revenons sur nos pas pour retrouver le GR, mais dans la fatigue je me trompe et m’imagine qu’il est plus loin sur la ligne de crête. Au bout d’un moment, il faut l’admettre, je l’ai raté. De nouveau, demi-tour et on bascule enfin vers l’autre versant qui descend en pente douce vers le Col de Cabre.

Nous redescendons sous les nuages, entre lesquels le soleil fait de réjouissantes apparitions. Au Col de Cabre (1528 m), c’est-à-dire à mi-parcours environ, alors que d’autres randonneurs sont arrêtés pour déjeuner, nous plongeons à gauche dans la vallée de la Santoire, ancien cirque glaciaire où le chemin se fait âpre dans les rochers. C’est désormais à notre tour, la fatigue aidant, d’être complètement indifférents à la population bovine qui en occupe les pentes…

Au bout de plusieurs kilomètres de descente dans ce terrain usant, nous parvenons à la Boudio (1100 m), où nous refaisons le plein en eau. Même Vanessa est crevée, c’est dire… Et lorsqu’elle demande s’il reste plus de vingt minutes de marche, je suis obligé de lui répondre qu’il nous en reste au moins une heure et demie…

Le chemin remonte sur la gauche pour contourner le pied du massif et passer au hameau de la Courbatière, qui fait écho à nos vives courbatures.

Nous débouchons dans la vallée de l’Impradine, que nous franchissons pour remonter sur le versant opposé dans la direction du Col de Serre où se trouve la voiture. En pleine montée d’un champ, nous débusquons un rapace qui dépouillait une charogne (sûrement un randonneur malheureux…). Je ne résiste à la tentation de m’emparer d’un des chevaux du champ pour finir l’ascension que parce que la fatigue m’aurait empêché de toute façon de lui monter dessus ;-)

Après quelques franchissements hasardeux de clôture, nous retrouvons la route du Col où était garée la BX (15 h), qui se chargera, dans un inquiétant panache de fumée blanche, de nous reconduire à Murat.

Mardi 14 août : le Puy Violent

(Carte IGN 2435 OT, sur les Monts du Cantal)

Rq : Après la sortie de la veille, je dois avouer avoir été tenté de faire à mon tour le traîne-paillasse en garant la voiture à proximité de ce dernier puy. Mais la perspective de la fin du séjour incite quand même à profiter pleinement de cette dernière ascension.

Départ vers 14 h 40 du petit village de Récusset (1025 m), blotti au fond de la vallée de la Maronne.

Montée dans les champs, par un sentier qui se confond parfois avec le cours plus ou moins abandonné d’un ruisseau.

On rejoint le GR 400 qui longe sur quelques kilomètres le pied du puy en une piste horizontale, d’est en ouest.

Il bifurque ensuite à gauche pour monter les estives du Violental, harmonieusement bosselées.

Parvenus à la ligne de crête (1516 m), nous retrouvons la piste des traîne-paillasse, garés à proximité. C’est une montée tranquille, dans une herbe courte et ventée, qui nous amène à la fin plus pentue de l’ascension du Puy Violent (1592 m).

2007_08_14_Puy_Violent_5022

Pour une fois, même si le temps reste gris, nous bénéficions d’un vaste panorama sur les Monts du Cantal.

2007_08_14_Puy_Violent_5035

La redescente du Violental a un goût de nostalgie, puisque c’était le dernier sommet.

Mais au lieu de suivre le GR 400 de l’aller, nous continuons sur un petit sentier qui plonge droit vers la vallée. En cours de descente, on a la mauvaise surprise de constater qu’un agriculteur, non content de barrer le chemin et d’afficher une défense d’entrer, a pris soin d’effacer les marques de balisage. Nous parvenons quand même à retrouver un chemin, qui nous amène un peu en contrebas du village de Récusset (18 h 20).

La journée du mercredi fut consacrée aux réconfortantes spécialités locales et autres souvenirs : la saucisse sèche et le Cantal sont à tomber par terre… ;-)

En définitive, même si j’ai les cartes sous les yeux pour rédiger ce compte-rendu, je m’aperçois que les efforts consentis ont profondément inscrit le trajet en moi, et la principale difficulté consiste plutôt à faire le tri entre les souvenirs variés qui reviennent en masse.

Ce furent, je crois, nos plus belles vacances.

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Commentaires
L
Une véritable bouffée d'oxygène tout droit venue de la montagne. Ca me change de l'air iodé :-)<br /> <br /> http://bvroyer.canalblog.com/<br /> http://vero.blog.mongenie.com/
L
l'auvergne ! comment pourrais-je dire que ce n'est pas beau !!! moi qui y suis née et qui y vis !!!<br /> le cantal est merveilleux, tu en as fait de belles photos<br /> Tu es meme allé dans des coins que je ne connais pas !!!
D
Désolé pour les hêtraies, je n'en ai pas la moindre photo... Et, de toute façon, je soufflais tellement dans les montées qu'elles auraient été floues ;-)<br /> <br /> En tout cas, je constate, à la lecture de tes impressions, que tu es prête pour de belles vacances en Auvergne... Comment ça, pas tout de suite ?!? ;-)
L
... je veux voir les hêtraies moi ! J'aime les hêtres, autant que les bouleaux :)<br /> <br /> Tu me donnes furieusement envie avec tes descriptions de sentier... surtout avec un temps comme ça ! Non, c'est vrai : je n'aime pas randonner quand il fait chaud, je trouve ça plus fatiguant. <br /> Et puis, quand il fait frais, le plaisir du ronflement léger du bleuet, du chant l'eau qui frémit dans la popotte, du thé bien chaud qui ramène une température normale dans les doigts, à travers les mitaines -- sinon ça brûle --, et puis, le bon plaisir du repas chaud et ravigottant -- c'est là qu'on apprécie vraiment les pâtes. Sans rire !<br /> Et la surprise de la caresse d'un rayon de soleil inattendu -- s'arrêter net pour lui offrir le visage, les yeux clôts, et laisser la chaleur réintégrer le corps jusqu'au bout des orteils (ou des ramilles, si tu préfères :)).<br /> Et... J'veux être en vacaaances ! :D<br /> <br /> Merci pour tes descriptions... c'est tout ce qu'il faut pour vivre les sensations comme si on y était :)
S
... pour avoir deux fois plus de commentaires, malin l'Ent ;-)<br /> j'aime beaucoup ces photos, qui correspondent tout à fait aux images que je me faisais en te lisant hier. <br /> Dommage que vouz ayez eu un peu trop de nuages certains jours, mais cela donne de jolis chichés pour nous.<br /> Les photos du Dimanche 12 sont magnifiques, tout particulièrement la première (cadrage, paysage et lumière). <br /> Encore merci :-))
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